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M.H pour A nous Paris


(...) Farfelu, fantasque et inquiétant, ce huis clos échevelé bénéficie d'une mise en scène vivace et d'une bande son en symbiose avec le sujet. Les deux comédiens y vont bille en tête et insuffluent ce qu'il faut d'énergie à la partie. Un bon Délire, à deux...à tant qu'on veut.

Diminitri Denorme pour Le Pariscope


(...) Rachel André signe une mise en scène originale, aboutie et convaincante (...) Le voyage en "absurdie" au cœur de l'écriture de Ionesco est délectable. Ici tout se joue dans la démesure, celle de la vie, de la peur, de l'impossibilité à rencontrer le sens.(...) Quant à l'énergie et à l'enthousiasme de Benjamin Tholozan, qui campent l'intrépide couple, ils sont sans faille et communicatif. Promis, en leur compagnie, vous allez sourire, rire et réfléchir !

Laura Plas pour Les Trois Coups

La compagnie Yaota nous donne une délicieuse occasion de redécouvrir "Délire à deux", d'Eugène Ionesco.
Une bande-son pleine de surprises, une mise en scène ingénieuse et surtout un duo d'acteurs infernaux font de cette tragédie hilarante une réussite (...

Evelyne Trân dans le monde.fr

(...)La mise en scène de Rachel ANDRE fort bien  réglée permet aux spectateurs de s’immerger dans ce délire à deux où tandis qu’Elle et Lui s’embrouillent dans leur verbiage(...) Les interprètes Rachel ANDRE et Benjamin THOLOZAN, très justes, scotchés aux propos bêtes et méchants et particulièrement cocasses de leurs personnages(...)

GILLES COSTAZ POUR WEBTHEATRE.FR

(...)Pour éviter tout confusion avec le théâtre bourgeois, Rachel André installe l’action dans un décor abîmé, salle, cassé, appuyant sa mise en scène sur une bonne question : « Qui délire ici ? Le couple ou le monde qui l’entoure ? » On se doute bien que ce sont les deux, la mise en scène jouant avec les surprises d’un univers oppressant, le brouillage des sons et la multiplication des incidents. Rachel André joue elle-même la femme avec une belle énergie. Son partenaire , Benjamin Tholozan, a quelque chose d’encore plus singulier (...)

homas Baudeau pour Fous de Théâtre 

Tandis que les festivals s’apprêtent, on l'espère, à battre leur plein dans nos jolies provinces, les propositions intéressantes se font de plus en plus rares à Paris. Il en est une pourtant qu'il conviendra de ne pas manquer. Au Lucernaire, en effet, deux jeunes acteurs mettent leur talent, leur énergie, leur créativité au service d'un Ionesco à la fois drolatique, dense, et oppressant que nous n'avions encore eu le plaisir d'applaudir (...)

Dans Paristribu.com

Ils jouent avec une grande finesse et un naturel parfaitement maitrisé.
Un très bon moment théâtral porté par ces deux comédiens. 
Une occasion de découvrir ce texte de Ionesco qui nous permet de nous interroger sur la relation humaine. 
A la fin le public  applaudit encore et encore. Un succès mérité pour ces deux comédiens !  

Jean- Luc Jeener pour le Figaro Magazine

(...) Un couple se déchaîne à l’extérieur. Le Délire est dans l'intime autant que dans la société. (...) Rachel André est fidèle à Ionesco. On entend bien la voix du maître. cela réjouira les amateurs.

 Dans Hier au théâtre:
Rachel André qui met aussi en scène, est d’une fidélité exemplaire à Ionesco. Mouvement et bruit vont crescendo,decrescendo dans des querelles hallucinées. La cruauté s’égare, la raison divague.
Ce Délire à deux, c’est le monde tel qu’il va.


Dans D.Dumas Théâtre
La jeune et audacieuse Rachel André déterre une partition ionescienne méconnue baptisée Délire à deux… à tant qu’on veut. Dans cette curiosité ardue et absurde, conflit intime et guerre mondiale s’accouplent pour engendrer une réflexion sur l’incommunicabilité et la disharmonie des individus. Bénéficiant d’une superbe scénographie, malicieuse à souhait et d’un jeu doté d’une folie carrée et impeccable, cette courte pièce mérite le déplacement. À voir au Lucernaire.

Par Florence Gopikian Yérémian dans BSCNEWS
(...)Mais cette dispute est absurde ! » allez-vous dire ? Tout à fait absurde même, et pourtant si représentative de la réalité ! Quel que soit le degré d’intensité d’un conflit ou d’une guerre, la cause en est souvent fort dérisoire. La plupart du temps, les hostilités découlent d’une simple erreur de communication ou d’un manque de parole entre des individus… C’est cette dimension tragique que tente de nous inculquer Eugène Ionesco à travers cette étrange pièce à deux voix(...)

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"...Du théâtre contemporain comme on aime avec un texte bien léché d’un jeune auteur Paul Francesconi également comédien dans sa pièce et une mise en scène sans tambours ni trompettes de Rachel André mais dont la finesse apporte un supplément d’âme à des situations ordinaires."

Montceau News par J.B
 

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